ASSOCIATION


 

PARTENAIRE FASODEV DURABLE
 

Depuis 2004, Graine de Baobab a confié la mise en place et la gestion de ses projets au Burkina à M Mahamoudou Diallo en tant que coordinateur.

Au fil de ces années, il a développé des compétences et un réseau qui lui ont permis de monter l’association Fasodev durable en juillet 2010 afin de pouvoir pérenniser les projets mis en place par Graine de Baobab et développer des projets en cherchant également d’autres partenaires.

Objectifs de Fasodev durable

Contribuer au développement humain durable du Burkina Faso en réalisant des projets de développement durable avec les acteurs locaux tout en accordant une place privilégiée aux femmes.

Témoignage de Mahamoudou Diallo – président

J’ai commencé à travailler avec Graine de Baobab en 2004 en tant que coordinateur. J’ai, à ce titre, supervisé et mis en place tous les projets de l’association. La thématique du développement m’a tellement passionné que je suis retourné à l’école pour passer un master en gestion de projets.


L’association Fasodev durable que je préside est née en 2010. Elle a pour objectif de monter des projets de développement durable en concertation avec les acteurs locaux. Je quitte donc mon poste de coordinateur et c’est en tant que président de mon association que je suivrai et mettrai en place tous les projets décidés en commun accord avec GDB.


Le partenariat avec Graine de Baobab a débuté par la construction du collège de Ouâda dont nous sommes tous très fiers, car ce collège rentre en droite ligne avec nos objectifs, l’éducation étant la base du développement.

Depuis le premier novembre 2011, Fasodev durable a la charge de conduire la phase deux du projet agro-écologique dans neuf villages.

L’agro-écologie permet d’accroître la fertilité des sols, de diminuer le volume des intrants (engrais, pesticides...), le poids des charges financières et la dépendance des producteurs envers les sociétés d’agrofournitures qui agressent notre espace vital. 


Je crois au développement à la base : valoriser les cultivateurs et les éleveurs en les accompagnant dans leur travail. Je vois l’avenir de mon pays dans les petites exploitations familiales qui arrivent à s’en sortir et à nous nourrir avec des techniques agricoles respectueuses de l’environnement.